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Rendez-vous aujourd'hui avec Vincent Fernandez et Eric Mouloungui
Vincent Fernandez
(6 matchs, 6 titularisations, 531 minutes de jeu, 0 carton jaune, 1 carton rouge en championnat - 1 match, 1 titularisation, 90 minutes de jeu en Coupe de la Ligue - voir ses statistiques complètes)
Après le recrutement de Richard Dutruel, une place de doublure lui était promise. Après avoir brillamment assuré l'intérim en début de saison (présence rassurante dans les airs, bonne prise de balle), il a cédé sa place à un Dutruel très fébrile. D'ailleurs les prestations de l'ex-Sochalien ne sont pas passés inaperçues. Convoité par Tenerife, il restera finalement au Racing en raison d'un changement d'entraîneur du club espagnol. Une nouvelle blessure de Dutruel et Fernandez se retrouva titulaire en cette fin d'année. Un peu moins convaincant qu'à l'été, ce fut à son tour de se blesser juste avant la trève, Dutruel retrouva sa place dans les buts et lui sur le banc. On peut se demander si un gardien de son niveau saura longtemps se contenter d'un rôle de doublure, peut être aurons nous droit au même épisode qu'à Sochaux où il fut lassé de passer son temps sur le banc.
Eric Mouloungui
(7 matchs, 1 titularisation, 232 minutes de jeu, 2 buts, 0 carton jaune, 0 carton rouge en championnat - voir ses statistiques complètes)
Pour sa deuxième saison au club, il du se contenter de bouts de matchs. Barré par le duo Ljuboja - Niang, ses entrées en jeu eurent lieu quand le Racing était mené au score (comme à Auxerre où il inscrivit son premier but en pro). Petit à petit, il s'est imposé dans le groupe des 16. Malheureusement, une blessure au genou le tint éloigné des terrains durant 2 mois, au moment où il aurait pu prétendre justement à une place de titulaire en raison de l'absence de Ljuboja. De retour face à Monaco où l'on a pu apercevoir l'espace d'une accélération ses qualités, il fêta sa première titularisation de sa carrière face à Montpellier. Fin, élégant, rapide, doté d'une bonne frappe et très à l'aise techniquement, nul doute que Kombouaré le titularisera vraisemblablement lors de la CAN (Niang étant absent). Ce sera pour lui l'occasion de s'imposer sur le front de l'attaque et de confirmer les immenses espoirs placés en lui.
Demain, Cédric Moukouri et Yacine Abdessadki
(6 matchs, 6 titularisations, 531 minutes de jeu, 0 carton jaune, 1 carton rouge en championnat - 1 match, 1 titularisation, 90 minutes de jeu en Coupe de la Ligue - voir ses statistiques complètes)
Après le recrutement de Richard Dutruel, une place de doublure lui était promise. Après avoir brillamment assuré l'intérim en début de saison (présence rassurante dans les airs, bonne prise de balle), il a cédé sa place à un Dutruel très fébrile. D'ailleurs les prestations de l'ex-Sochalien ne sont pas passés inaperçues. Convoité par Tenerife, il restera finalement au Racing en raison d'un changement d'entraîneur du club espagnol. Une nouvelle blessure de Dutruel et Fernandez se retrouva titulaire en cette fin d'année. Un peu moins convaincant qu'à l'été, ce fut à son tour de se blesser juste avant la trève, Dutruel retrouva sa place dans les buts et lui sur le banc. On peut se demander si un gardien de son niveau saura longtemps se contenter d'un rôle de doublure, peut être aurons nous droit au même épisode qu'à Sochaux où il fut lassé de passer son temps sur le banc.
Eric Mouloungui
(7 matchs, 1 titularisation, 232 minutes de jeu, 2 buts, 0 carton jaune, 0 carton rouge en championnat - voir ses statistiques complètes)
Pour sa deuxième saison au club, il du se contenter de bouts de matchs. Barré par le duo Ljuboja - Niang, ses entrées en jeu eurent lieu quand le Racing était mené au score (comme à Auxerre où il inscrivit son premier but en pro). Petit à petit, il s'est imposé dans le groupe des 16. Malheureusement, une blessure au genou le tint éloigné des terrains durant 2 mois, au moment où il aurait pu prétendre justement à une place de titulaire en raison de l'absence de Ljuboja. De retour face à Monaco où l'on a pu apercevoir l'espace d'une accélération ses qualités, il fêta sa première titularisation de sa carrière face à Montpellier. Fin, élégant, rapide, doté d'une bonne frappe et très à l'aise techniquement, nul doute que Kombouaré le titularisera vraisemblablement lors de la CAN (Niang étant absent). Ce sera pour lui l'occasion de s'imposer sur le front de l'attaque et de confirmer les immenses espoirs placés en lui.
Demain, Cédric Moukouri et Yacine Abdessadki
