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- Après-match
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- Par athor
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Opposé à une équipe lensoise très en forme ces derniers temps, le Racing a ramené un bon point de son déplacement, confirmant ainsi son regain de forme.
Jean-Pierre Papin avait dû cocher ce rendez-vous du 26 janvier, jour de la confrontation entre sa nouvelle équipe de Lens et son ancien club de Strasbourg, en étant animé par une motivation particulière, voire même par un sentiment de revanche. L'interrogation sur la poignée de main d'avant-match entre l'ex-Ballon d'or et son successeur sur le banc du Racing, Jean Marc Furlan, montre bien à quel point cette rencontre est particulière du côté des bancs de touche.
Mais retour au terrain avec ce match entre une équipe de Lens qui reste sur deux succès probants à Valenciennes et surtout face à Lyon, et qui confirme enfin son potentiel, incompatible avec la lutte pour le maintien. Du côté du Racing alsacien, la semaine avait bien débuté avec un point arraché à Auxerre suivi d'un succès acquis aux dépens de Toulouse, soit deux vrais concurrents du bas de tableau. L'opposition entre les deux Racing de la L1 devait donc permettre à une de ces deux équipes de poursuivre une bonne série.
Privé de Paisley, touché face au TFC, Jean-Marc Furlan a fait confiance à Ducrocq pour accompagner Bellaïd dans l'axe de la défense. Le milieu de terrain est assez solide avec Rodrigo, Lacour et Cohade en récupérateurs / relayeurs, Abdessadki étant chargé d'alimenter le duo Gameiro Renteria en pointe. La composition strasbourgeoise est donc la suivante:
C'est sous les yeux des quelques 500 supporters alsaciens ayant profité du déplacement offert par le club que le match débute avec un coup de tonnerre et l'ouverture du score signée du fantasque Colombien Renteria. Au départ, un coup franc joué par les Strasbourgeois en direction de la surface, que les Lensois ont du mal à gérer. Le buteur n'est pas hors jeu et parvient, avec un peu de chance, à tromper Vedran Runje. Trois minutes de jeu et Bollaert assiste déjà au Ruque Raque.
Mais la réaction des locaux ne se fait pas attendre et Maoulida va s'effondrer dans la surface, au contact de Bellaid et de Dos Santos. Le pénalty est loin d'être évident, mais l'arbitre, Monsieur Lamarre, n'hésite pas à l'accorder. Olivier Monterrubio ne se fait pas prier et s'en va prendre Cassard à contre-pied. A peine cinq minutes de jeu, et le score est déjà de un but partout. Et la suite est du même acabit, le rythme est assez élevé dans cette rencontre avec des Lensois qui tentent d'approcher les cages alsaciennes et des Ciels et Blancs qui font tourner le ballon avant de se porter vers l'avant. En fin de période, l'intensité baisse un peu mais le match reste plaisant. A la pause, Strasbourg semble tenir un bon point, mais devra se méfier des attaquants adverses.
La seconde mi-temps reprend avec un première accélération de Renteria, assez en jambes, dans la surface mais il se fait déséquilibrer par Hilton. L'arbitre ne bronche pas. Lens est alors en train d'accélérer et Strasbourg recule au fil des minutes, jusqu'à l'heure de jeu où Lacour va buter sur Runje, oubliant au passage de servir Renteria dans l'axe. La réponse lensoise ne va pas se faire attendre puisque Monterrubio, d'une superbe frappe, va obliger Cassard à sortir le grand jeu. Le tournant du match va arriver à environ un quart de la fin, lorsque Jean-Marc Furlan décide de faire entrer Alvaro Santos, juste avant un coup franc à l'avantage des Strasbourgeois. Le Brésilien va se placer et, dans la continuité de sa course, s'en va couper de la tête le ballon donné par Cohade et inscrire ainsi son troisième but sous ses nouvelles couleurs. Toutefois, ce but sera insuffisant, puisque, suite à une faute de Bellaid à l'entrée de la surface, Monterrubio, décidément excellent ce soir, va égaliser d'un coup franc magistral. Maoulida croira offrir la victoire aux siens, mais son but est refusé pour un hors jeu, il est vrai, inexistant.
Malgré tout, le Racing a donc ramené un bon point de son déplacement dans le Pas de Calais, en confirmant son redressement dans le jeu et en jouant crânement sa chance. Au classement, s'ils gagnent une place, les Strasbourgeois sont toujours à trois points de la zone rouge, mais aussi à trois points de la 8ème place. Dieu, que ce championnat est serré !
Mais retour au terrain avec ce match entre une équipe de Lens qui reste sur deux succès probants à Valenciennes et surtout face à Lyon, et qui confirme enfin son potentiel, incompatible avec la lutte pour le maintien. Du côté du Racing alsacien, la semaine avait bien débuté avec un point arraché à Auxerre suivi d'un succès acquis aux dépens de Toulouse, soit deux vrais concurrents du bas de tableau. L'opposition entre les deux Racing de la L1 devait donc permettre à une de ces deux équipes de poursuivre une bonne série.
Privé de Paisley, touché face au TFC, Jean-Marc Furlan a fait confiance à Ducrocq pour accompagner Bellaïd dans l'axe de la défense. Le milieu de terrain est assez solide avec Rodrigo, Lacour et Cohade en récupérateurs / relayeurs, Abdessadki étant chargé d'alimenter le duo Gameiro Renteria en pointe. La composition strasbourgeoise est donc la suivante:
C'est sous les yeux des quelques 500 supporters alsaciens ayant profité du déplacement offert par le club que le match débute avec un coup de tonnerre et l'ouverture du score signée du fantasque Colombien Renteria. Au départ, un coup franc joué par les Strasbourgeois en direction de la surface, que les Lensois ont du mal à gérer. Le buteur n'est pas hors jeu et parvient, avec un peu de chance, à tromper Vedran Runje. Trois minutes de jeu et Bollaert assiste déjà au Ruque Raque.
Mais la réaction des locaux ne se fait pas attendre et Maoulida va s'effondrer dans la surface, au contact de Bellaid et de Dos Santos. Le pénalty est loin d'être évident, mais l'arbitre, Monsieur Lamarre, n'hésite pas à l'accorder. Olivier Monterrubio ne se fait pas prier et s'en va prendre Cassard à contre-pied. A peine cinq minutes de jeu, et le score est déjà de un but partout. Et la suite est du même acabit, le rythme est assez élevé dans cette rencontre avec des Lensois qui tentent d'approcher les cages alsaciennes et des Ciels et Blancs qui font tourner le ballon avant de se porter vers l'avant. En fin de période, l'intensité baisse un peu mais le match reste plaisant. A la pause, Strasbourg semble tenir un bon point, mais devra se méfier des attaquants adverses.
La seconde mi-temps reprend avec un première accélération de Renteria, assez en jambes, dans la surface mais il se fait déséquilibrer par Hilton. L'arbitre ne bronche pas. Lens est alors en train d'accélérer et Strasbourg recule au fil des minutes, jusqu'à l'heure de jeu où Lacour va buter sur Runje, oubliant au passage de servir Renteria dans l'axe. La réponse lensoise ne va pas se faire attendre puisque Monterrubio, d'une superbe frappe, va obliger Cassard à sortir le grand jeu. Le tournant du match va arriver à environ un quart de la fin, lorsque Jean-Marc Furlan décide de faire entrer Alvaro Santos, juste avant un coup franc à l'avantage des Strasbourgeois. Le Brésilien va se placer et, dans la continuité de sa course, s'en va couper de la tête le ballon donné par Cohade et inscrire ainsi son troisième but sous ses nouvelles couleurs. Toutefois, ce but sera insuffisant, puisque, suite à une faute de Bellaid à l'entrée de la surface, Monterrubio, décidément excellent ce soir, va égaliser d'un coup franc magistral. Maoulida croira offrir la victoire aux siens, mais son but est refusé pour un hors jeu, il est vrai, inexistant.
Malgré tout, le Racing a donc ramené un bon point de son déplacement dans le Pas de Calais, en confirmant son redressement dans le jeu et en jouant crânement sa chance. Au classement, s'ils gagnent une place, les Strasbourgeois sont toujours à trois points de la zone rouge, mais aussi à trois points de la 8ème place. Dieu, que ce championnat est serré !
